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Filtrer les éléments par date : dimanche, 29 janvier 2017

Bien choisir son SSD

Si vous vous apprêtez à choisir un SSD, certains détails risques forts de vous contrarier, surtout su vous n'êtes pas une personne avisée. La jungle des termes techniques n'aura rien pour vous rassurer, c'est pourquoi nous avons voulu défricher le terrain pour vous aider à y voir plus clair ! Alors que les disques à plateaux régnaient en maîtres sur le monde de l'informatique, ce dernier s'est vu sévèrement concurrencé par des versions dites à mémoire flash: les SSD (Solid State Drive). Visuellement, la confusion n'est pas permise ! Le disque dur standard est non seulement beaucoup plus volumineux, mais aussi beaucoup plus lourd. C'est la conséquence d'une technologie qui utilise un ou plusieurs plateaux, mais aussi des éléments en mouvement afin d'en assurer le fonctionnement. Côté SSD, c'est tout le contraire: ils sont très légers (quelques dizaines de grammes), ils n'ont pas de pièces en mouvements (ils sont faits de plusieurs puces mémoires).

Autres détails d'importance:

* Il ne chauffe quasiment pas, ce qui en fait un élément de choix que l'on aura tendance à privilégier pour les configurations mobiles telles que les portables, mais aussi les tablettes, les smartphones, etc.
* Il est nettement plus rapide (lecture / écriture) qu'un disque dur standard.
* Il consomme nettement moins d'énergie que son homologue à plateaux.
* Il ne fait pas ou quasiment pas de bruit alors qu'un disque standard va commencer à couiner avec le temps !

Toujours du SATA III



Les disques durs à plateaux utilisent en grande majorité une connectique SATA (SATA III), ainsi qu'une alimentation dédiée. Le fait d'avoir équipé les SSDs de ce type de connexion aura permis une démocratisation de ce format (en plus d'une baisse des prix qui fait de lui un produit aujourd'hui abordable pour le commun des mortels). Ici nous ne traiterons pas des formats plus «propriétaires» comme ceux que l'on peut trouver chez Apple et qui utilisent un connecteur PCI Express (le même que celui des cartes graphiques par exemple). Certes, les performances vont du simple à quasiment le double (environ 600 Mo /s pour du SATA III de dernière génération et plus d'1Go/s pour du PCI Express), mais côté tarif, c'est aussi le grand écart (mais je n'apprendrai rien aux fidèles clients de la pomme).

SLC, TLC, V-NAND, etc.

Une fois que vous aurez choisi le type d'interface dont vous aurez besoin (dans 99% des cas vous prendrez du SATA III), il vous faudra choisir parmi différents critères. Majoritairement, vous vous précipiterez sur les données relatives à la bande passante du SSD (vitesse de lecture/ écriture). Certes c'est un élément important, mais un autre "détail" est aussi à considérer: le type de mémoire utilisée. Il existe en effet plusieurs sortes de mémoires avec des propriétés pouvant varier énormément l'une de l'autre. On distingue 3 grandes familles que sont:

* La mémoire SLC NAND (Single Level Cell).
* La mémoire MLC NAND (Multi Level Cell).
* La mémoire TLC NAND (Triple Level Cell).



Toutes présentent des particularités qui leur sont propres. La SLC ne peut stocker qu'une seul bit tandis que la MLC peut en stocker plusieurs (en général 2). La TLC pour faire simple, c'est en fait de la MLC améliorée (d'ailleurs parfois vous aurez comme dénomination MLC X3, ce qui signifie qu'elle possède 3 niveaux de charge). Vous l'aurez compris, cette génération de mémoire est capable de stocker encore plus de Bits que les versions précédentes. Samsung (histoire de garder son leadership sur un marché devenu ultra concurrentiel) développa une autre génération de mémoire baptisée V-NAND (ou 3D V-NAND). Proposée au début en MLC, le fondeur coréen proposa des versions TLC de la V-NAND. L'avantage ? Stocker 3 bits de données dans chaque cellule et ainsi profiter d'une densité de stockage plus importante. De plus, ces mémoires permettent également de réduire de 30% la consommation d'énergie par rapport à la génération précédente.

Des débits sensiblement différents.

Côté performances, selon la marque et le type de mémoires utilisées, la bande passante aura tendance à varier sensiblement. On retrouve d'ailleurs assez fréquemment des débits allant de 480 Mo à 540 Mo/s en écriture, et de 500 à 540 Mo /s en lecture. Vous l'aurez compris, sur ce critère, tous les SSDs jouent plus ou moins dans la même cour.

Vous avez dit "IOPS" ?

Voila encore un terme qui laisse quasiment tout le monde «la bouche en cul de poule» ! Et pourtant il est tout aussi crucial que certains autres éléments clé. Alors détaillons un peu tout ça ! IOPS signifie «Input/ Output Operations Per Second». Autrement dit et dans la langue de Molière, ce terme désigne le nombre d'opérations d'entrée / sortie réalisées par seconde. Bien plus qu'une simple désignation technique, il s'agit en fait d'une unité de mesure fréquemment usitée en informatique. On l'utilise essentiellement lorsque l'on teste par exemple des SSDs, des disques durs, et je ne sais quoi d'autre encore. C'est grâce à ce critère (IOPS) que l'on pourra classifier le niveau de performances atteint par une unité de stockage comme un SSD.

4 éléments distincts peuvent vous être donnés sur une fiche technique:

«Random Read IOPS»: ici il s'agira du nombre d'opérations en mode lecture qui pourront être faites par seconde. «Random Write IOPS»: idem au paramètre précédent mais ici en mode lecture. Ici on utilisera de petits fichiers pour effectuer le test.

«Sequential Read IOPS»: ici il s'agira d'un nombre d'opérations moyen en mode séquentielle de lecture par seconde. Dans ce cas de figure on utilisera pour le test des fichiers de grandes tailles. "Sequential Write IOPS" est idem au paramètre précédent mais en mode séquentielle d'écriture.

Quand vous verrez ces informations, vous pourrez aisément déterminer les capacités d'un SSD car plus la valeur sera importante et plus les performances seront hautes.

L'endurance du SSD mise à l'épreuve !

Au même titre qu'un disque dur classique, et contrairement à ce que beaucoup de monde pense, les SSDs ne sont pas éternels. Ces derniers sont malheureusement vulnérables et souffrent d'une «usure» induite par le nombre de cycles d'écritures qu'il aura subit. Autre élément important et à prendre sérieusement en compte: les coupures de courant. En effet ces dernières peuvent avoir un incidence fatale sur votre SSD au point de le rendre irrécupérable. Alors n'hésitez pas à investir dans un onduleur pour vous éviter toute mésaventure.

Un autre paramètre bien souvent relayé dans les bas fonds d'une fiche technique concerne «le temps moyen entre pannes». Et oui cette valeur va vous permettre d'estimer le moment ou votre SSD pourrait montrer ses premiers signes de faibles voir tomber purement et simplement en carafe. Pour vous donner un exemple, j'ai repris celui d'un Samsung 850 Evo de 250Go. Ce dernier est donné pour un temps moyen entre pannes de 1500000 heures. Quand même de quoi voir venir ;-)

La fonction TRIM va ici nous permettre de préserver la durée de vie de nos SSDs mais aussi, de maintenir ces derniers à leur meilleur niveau de performances. Cette fonction reste donc indissociable mais aussi indispensable à nos ordinateurs.

Un SSD encore plus puissant ? C'est possible

Vous avez pour habitude certainement de manipuler des SSDs au format SATA, mais il faut savoir qu'entre autres, des versions PCI Express existent. Ces dernières se connectent sur un port PCIe standard de votre ordinateur et dialoguent directement avec la carte-mère. L'avantage de cette méthode ? Affoler les compteurs ! En effet vous pourrez dépasser allègrement la barre fatidique du Go /s (certains modèles culminent à 1,8 Go /s), là ou un disque SSD SATA standard n'atteindra que très péniblement les 600 Mo /s. Revers de la médaille, côté tarifs, ils vous coûteront substantiellement plus, mais pour des performances quasiment deux fois supérieures à un SSD standard.



Ceux qui ne bénéficieraient pas de port PCI Express, sachez que rien n'est perdu pour autant si vous avez besoin de faire parler la poudre ! Des solutions existent comme par exemple les boîtiers RAID. Vous pourrez par exemple agréger 2 disques ensembles et ainsi presque cumuler les bandes passantes pour atteindre des vitesses largement supérieures à un SSD lambda.

Le double effet marketing !

Les arguments en faveur d'une technologie telle que le thunderbolt par exemple ne sont pas futiles, mais il faut encore une fois raison garder. Pourquoi ? Et bien parce qu'il est crucial de privilégier une certaine cohérence quand à sa configuration matériels. Acheter un boîtier Thunderbolt 2 à plusieurs centaines d'Euros n'aurait pas de sens si c'est pour y installer un disque à plateaux. Même si le thunderbolt (version 2 et 3) est à ce jour la connectique la plus rapide qui soit, elle n'en est pas pour autant indispensable à nos ordinateurs. Dans bien des cas, un SSD dans un boîtier USB3 suffira largement à tirer la quintessence de ce dernier (maximum 600 Mo /s pour un SSD alors que le thunderbolt 2 peut par exemple gérer 10 Go /s dans les deux sens). Le seul intérêt du thunderbolt réside à mon sens dans le chaînage de plusieurs périphériques du même type. Dans cette hypothèse, le goulot d'étranglement qui pourrait faire patiner vos périphériques en serait grandement repoussé. De ce point de vue, et sur un même BUS, là ou les limites de plusieurs périphériques USB sont rapidement atteintes, le thunderbolt prend l'avantage.

Maintenant que vous en savez un peu plus sur les secrets cachés des fiches techniques des SSDs, vous êtes fin prêt(e) pour choisir le prochain qui viendra se greffer à votre ordinateur ;-)

Cet article a été publié dans le numéro 3 de Logic-Nation Magazine. Téléchargez gratuitement tous nos numéros en cliquant sur le lien suivant ICI.

Test NAS Synology DS216J

Après vous avoir proposé un test du boîtier RAID de chez AKITIO, nous voici de retour avec une autre joyeuseté dans le même genre: un NAS. Synology propose une vaste gamme et nous avons eu la possibilité de tester le DS216J. Que vaut-il ? Est-ce un achat qui présente un intérêt ? vous le saurez à la fin de cet article ;)

Euh c'est quoi un NAS ?

Il est vrai que cette appellation peu courante chez les particuliers pourrait paraître mystérieuse pour certains. En fait NAS signifie «Network Attached Storage» et n'est autre qu'un serveur de stockage réseau. Offrant un ou plusieurs emplacements dédiés à vos disques durs, ce dernier vous permettra d’accéder à vos données (fichiers, films, musique, etc) de n'importe quel point sur le réseau.

Un NAS ? Mais pour quel usage ?

Soyons clair: un NAS n'est pas fait pour héberger des banques sons dédiées à un Kontakt ou autre. Ici il vous faudra privilégier par exemple les SSD internes ou les boîtiers RAID. Le but du NAS étant d'offrir un maximum de disponibilité à une ou plusieurs en même temps, son côté centralisé vous évitera par exemple de multiplier les disques durs externes, mais aussi de limiter économiquement les dépenses. Les NAS étant entièrement autonomes, ces derniers ne dépendront d'aucune machine et consomme assez peu d'énergie ce qui vous permettra de les laisser continuellement allumés. Un NAS peut-être envisagé comme sauvegarde principale (le DS216J est compatible Time Machine), ou comme sauvegarde secondaire (ce dernier venant backuper votre propre Time Machine pour une sécurité optimale). Mais vous pourrez également synchroniser des fichiers, ou encore héberger de la musique ou des films que vous streamerez à partir d'un élément tiers (TV, ou ordinateur pour n'en citer que deux). Dernier domaine d'application, ce NAS pourra parfaitement s'interconnecter avec une solution de vidéo surveillance (à l'heure de la domotique et des cambriolages, pouvoir espérer retrouver sa Strat Série L de 1961 peut représenter un intérêt certain) ! ;-)

Et hop on déballe la bête !

Au déballage, le DS216J impressionne par son format plutôt compact. Je dis compact parce qu'il aurait très bien pu proposer des formes plus généreuses surtout quand on sait qu'il est capable d'héberger 2 disques. Bien que l'enveloppe du produit soit de plastique vêtue et particulièrement légère (le DS216J est livré sans disques durs), une fois équipé en disques durs, c'est un produit qui globalement donne confiance. vous retrouverez aussi dans le carton un câble Ethernet ainsi que l'alimentation externe. Service minimum mais d'un autre côté il ne nous en fallait pas plus !



Côté technique, ce NAS propose un processeur Dual Core cadencé à 1 Ghz avec 512 Mo de RAM DDR3 ce qui vous permettra d'avoir de bonne performances en cas de grosses sollicitations (le streaming est assez consommateur de ressources). Niveau connectique, le boîtier est plutôt bien pourvu avec 2 ports USB 3.0 et un port Ethernet Gigabit. Un NAS sera principalement utilisé via un réseau local, mais sachez qu'avec les deux ports USB 3.0 vous pourrez également vous servir du DDS216J comme d'un simple boîtier externe pour profiter d'un taux de transfert plus rapide (jusqu'à 5 Gbps soit 10 fois plus qu'une liaison USB 2.0 quand même !).

Une installation aux petits oignons !

C'est souvent un détail qui peut générer quelques craintes. Ici c'est du sans souci ! On ouvre très simplement le boîtier en enlevant 2 vis, on fixe le ou les disques avec des vis (dommage qu'une solution sans visserie n'ait pas été choisie) et hop le tour est joué. Bref, 5 minutes après, l'installation des disques (HD à plateaux de 2 To en ce qui me concerne) s'est faite sans encombres. Vous pourrez y mettre des disques à la norme SATA II et SATA III, mais aussi des SSDs (pour les plus fortunés) puisque le format 2,5 et 3,5 pouces sont supportés. Une fois refermé, le NAS était bon pour le service ! Petit détail au passage, il faut savoir qu'en interne, ce petit boîtier qui ne paye pas de mine peut embarquer jusqu'à 16 To de stockage !

Synology propose la compatibilité de son NAS avec 5 systèmes de fichiers différents: FAT, HFS+, NTFS, ext3 et ext4 (autrement dit tout le monde y trouvera son compte). Mais ma plus grosse surprise a été de constater que le DS216J était aussi capable de supporter le RAID ! 3 niveaux vous sont proposés avec les traditionnels RAID 0 et RAID 1 mais aussi JBOD (Just a Bunch Of Disks). Ce dernier vous permettra par exemple de cumuler les différentes unités de stockage pour n'en faire qu'une seule. Le côté pratique de cette solution ? Les données sont écrites disques par disques. Dès qu'un disque est plein, hop, la suite est copiée sur le suivant et ainsi de suite. Vous vous servirez du JBOD pour étendre par exemple la capacité de stockage d'un disque (par exemple si vous avez plein de petits disques durs). Par contre vous n'aurez ni amélioration des performances, ni tolérance de panne. Cette parenthèse fermée, il ne me restait plus qu'à brancher le DS216J sur mon réseau local (un switch CISCO Catalyst 2950) pour être fin prêt pour mes tests.  Pour ceux qui ne possèdent pas de matériels réseau dédié, sachez que vous pourrez tout simplement raccorder votre NAS à un port ethernet de votre box par exemple (ça fonctionnera également dans ces conditions d'utilisation).

Et maintenant on configure tout ça !

Même si un produit peut recevoir toutes les éloges du monde niveau qualité perçue, il faut savoir que le tableau peut rapidement virer au cauchemar quand il s'agit de mettre en branle tout ce petit monde ! Synology a dû surement prendre conscience de cette prérogative car vous aurez 3 possibilités différentes pour effectuer cette tâche.

* Utiliser Synology Assistant
* Accéder via un navigateur internet à l'url: find.sysnology.com
* Utiliser une application pour smartphone

Par fainéantise, j'ai opté pour la première solution. Proposé en français, son interface est vraiment très simple et vous permettra de faire quasiment toutes les opérations dont vous aurez besoin. Vous pourrez également via la même interface gérer plusieurs NAS sur le même réseau ce qui peut à l'occasion se révéler vraiment pratique (la centralisation des infos ça ne peut pas faire de mal).

Une fois l'étape de configuration passée avec succès (avec l'assistant impossible de se louper), vous pourrez via DiskStation Manager (DSM) créer vos dossiers, mais aussi vos partages sur votre réseau, et même accessoirement créer votre propre cloud. Cerise sur le gâteau, l'accessibilité depuis l'extérieur vous donnera une option supplémentaire non négligeable pour gérer vos données ou encore administrer vos applications ou les accès à votre NAS.

De bonnes performances sur son créneau.

Utilisé comme simple boîtier externe USB 3.0, les performances sont à l'avenant (sensiblement les mêmes qu'un disque externe fonctionnant sous la même connectique). En revanche certains pourraient être tentés d'utiliser ce genre de matériel pour y héberger des banques sons et faire du streaming à partir de leur DAW préféré. Autant être clair: un NAS n'est pas fait pour ce type d'usage. Ici le but n'est pas la performance mais plutôt le partage de données entre différentes machines avec la sécurisation des données. Lors de mes tests je n'ai que péniblement réussi à atteindre les 110 Mo/s en lecture et 96 Mo/s en lecture.

La synchro de fichiers version Luxe !

Autre test qui a aiguisé ma curiosité: le service cloud. Synology avance un argument qui sur le papier ferait rêver n'importe quel fan de mobilité "inter-périphériques". Similaire au Cloud d'Apple (iCloud), le fabricant reprend la même idée, tout en y apportant une complémentarité qui est loin d'être futile avec une véritable synchro multi-plateformes. «Cloud Station» (c'est son nom), vous permettra non seulement de synchroniser de façon bi-directionnelle vos données entre des appareils du monde Windows, Mac, Linux, iOS, ou encore Android, mais aussi entre différents boîtiers DiskStations. Encore plus fort ? Vous pourrez même synchroniser les données de votre NAS avec un Google Drive, OneDrive, Dropbox, Hubic et Baidu Cloud ! Si vous perdez vos données alors que cette fonctionnalité est opérante, c'est vraiment que vous l'aurez fait exprès !


Une gestion simple et efficace !

Synology a su adapter son offre aux usages des clients d'aujourd'hui. Les applis dédiées foisonnent sur les stores d'Apple ou encore Google, c'est d'ailleurs ce qui a poussé le fabricant à développer ses propres outils et à vous permettre d’accéder / de gérer votre contenu à distance via une tablette ou encore un smartphone. Certains doivent penser que la configuration d'un routeur avec le NAS doit être un brin compliquée. Et bien pas du tout car Synology a conçu un autre outil (QuickConnect), qui vous permettra d'éliminer la configuration rébarbative du routeur ou encore des règles de transmission de port. Le maître mot a été de simplifier la chose pour le commun des mortels et autant dire que c'est encore une fois mission accomplie de la part de Synology !


Conclusion

Synology propose avec le DS216J un boîtier aux prestations dignes d'un vrai NAS mais capable d'offrir des possibilités allant bien au delà de sa fonction primaire. Utilisable comme boîtier USB 3.0 externe, ou avec des capacités RAID, que ça soit pour une utilisation des plus basique ou en tant que solution de backup (Time Machine) ou de surveillance, avec le DS216J vous en aurez largement pour votre argent ! Commercialisé à 179,90€ (sans disques durs) dans toutes les bonnes crèmeries, il offre un rapport qualité / prix imbattable ! Quelque soit les conditions dans lesquelles vous envisagerez de l'utiliser, le DS216J sera l'outil idéal !

Avantages:

* Accessibilité des données sur le réseau
* Possibilité d’utiliser ce NAS comme simple boîtier externe USB3.0
* La possibilité de créer son cloud personnel
* La compatibilité multi-plateformes (Mac, PC, etc.)
* La compatibilité avec Time Machine

Inconvénients:

* Rien pour le prix !

Plus de détails sur ce produit en cliquant sur le lien suivant ICI.

  • Publié dans Tests
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